Nous partons à pied de l’hôtel en direction de Portoroz (en italien Portorose, «Port aux roses»), une station balnéaire de la côte slovène. Son parfum méditerranéen : la mer, le vent, les palmiers fait oublier son bord de mer très bétonné.
Il fait très très chaud, autour de 38 degrés, lorsque nous arrivons à Piran, une chaleur humide que nous avons du mal à supporter, mais le bon turbot que nous avons pour le déjeuner nous redonne des forces pour visiter la ville de Piran, posée sur une presqu’ile dominant la mer adriatique.
Piran avec ses rues étroites, ses maisons serrées aux toits de tuiles où le linge sèche aux fenêtres nous plonge dans une ambiance italienne…
Le long de la mer, des bars, des restaurants, des glaciers alternent avec des espaces aménagés en plage avec des chaises longues pour les baigneurs. En effet, il n’y a pas de plage de sable fin le long de la côte, on accède souvent à la mer par des escaliers.