La place Giuseppe Tartini
La place Giuseppe Tartini

Piran, une fenêtre sur l’adriatique

Nous partons à pied de l’hôtel en direction de Portoroz (en italien Portorose, «Port aux roses»), une station balnéaire de la côte slovène. Son parfum méditerranéen : la mer, le vent, les palmiers fait oublier son bord de mer très bétonné.

Le port de plaisance de Portoroz
Le port de plaisance de Portoroz
Les salines de Piran
Les salines de Piran
Voiliers à Portoroz
Voiliers à Portoroz
Plage de Portoroz, au loin : la Croatie
Plage de Portoroz, au loin : la Croatie
Portoroz et sa côte bétonnée
Portoroz et sa côte bétonnée

Il fait très très chaud, autour de 38 degrés, lorsque nous arrivons à Piran, une chaleur humide que nous avons du mal à supporter, mais le bon turbot que nous avons pour le déjeuner nous redonne des forces pour visiter la ville de Piran, posée sur une presqu’ile dominant la mer adriatique.
Piran avec ses rues étroites, ses maisons serrées aux toits de tuiles où le linge sèche aux fenêtres nous plonge dans une ambiance italienne…

Les ruelles étroites de Piran
Les ruelles étroites de Piran
Le linge sèche aux fenêtres
Le linge sèche aux fenêtres
La place Giuseppe Tartini
La place Giuseppe Tartini
La place Giuseppe Tartini
La place Giuseppe Tartini

Le long de la mer, des bars, des restaurants, des glaciers alternent avec des espaces aménagés en plage avec des chaises longues pour les baigneurs. En effet, il n’y a pas de plage de sable fin le long de la côte, on accède souvent à la mer par des escaliers.

Une plage...
Une plage…
L'Eglise Saint Clément, à l'extrémité de la presqu'ile
L’Eglise Saint Clément, à l’extrémité de la presqu’ile
Vue sur Piran depuis l'église Saint Georges
Vue sur Piran depuis l’église Saint Georges
La citadelle de Piran
La citadelle de Piran

Piran