Le vallon du Sélé vu de la bosse de Clapouse
Le vallon du Sélé vu de la bosse de Clapouse

La bosse de Clapouse ou le « vallon des chamois »

Malgré l’étendage de nos affaires dans notre chambre et sur le balcon, un peu de chauffage électrique pour sécher l’atmosphère et l’aide du séchoir à cheveux, nos affaires sont loin d’être sèches ce matin. Même nos chaussures dans lesquelles nous avions bourré du papier journal pour pomper l’humidité ne sont pas complètement sèches. Nous n’avons pas d’autres choix que de les remettre mouillées avec des chaussettes humides… Nous partons heureusement avec le soleil en direction du vallon de Clapouse. Et ce matin, pas besoin de la voiture, nous partons à pied de notre hôtel.

Le vallon du Sélé
Le vallon du Sélé

La montée sous les mélèzes le long du torrent de Celse Bière est agréable. Puis elle devient plus raide et dans les éboulis puis les pierriers. Nous dominons la vallée d’Ailefroide et de temps en temps, on peut même voir le camping voisin de notre hôtel entre les mélèzes.

Nous arrivons à la bosse de Clapouse en fin de matinée et nous avons la chance de voir des chamois dans la moraine.

Les chamois sont nombreux dans la moraine du glacier
Les chamois sont nombreux dans la moraine du glacier
Le vallon du Sélé vu de la bosse de Clapouse
Le vallon du Sélé vu de la bosse de Clapouse
Les glaciers au fond du vallon du Sélé
Les glaciers au fond du vallon du Sélé

Nous faisons la pause pique-nique sur le replat à la bosse de Clapouse en observant les chamois qui gambadent sur les grandes pentes. En nous retournant vers le versant sud du Pelvoux et le vallon du Sélé, nous pouvons deviner le refuge du Pelvoux dans la paroi. Nous descendons rapidement car le ciel se charge… l’orage va sûrement nous surprendre comme hier, pourvu que ce soit le plus bas possible !

Le refuge du Pelvoux est dans la paroi, sous les petits glaciers du centre
Le refuge du Pelvoux est dans la paroi, sous les petits glaciers du centre
Le refuge du Pelvoux se distingue à peine dans les roches de la couleur des pierres
Le refuge du Pelvoux se distingue à peine dans les roches de la couleur des pierres

Nous sommes à 15 h à l’hôtel, on s’installe au bar pour un rafraîchissement quand l’orage éclate, c’est ce qui s’appelle avoir du bol !